Jusqu'à vendredi dernier, après maintes déconvenues et déceptions, je boycottais littéralement les dim sum; secs, écoeurants, insipides, remplis d'objets non identifiés, mon désamour était complet pour ces petits raviolis. Mais face aux critiques dithyrambiques des connaisseurs, je laissais à Paris une ultime chance de me réconcilier avec les dim sum chez YOOM. A l'origine de YOOM, deux compères revenant de ...