Quand j'entre dans ce salon de thé, fondé en 1903 par un confiseur autrichien, j'ai un peu l'impression de sauter à pieds joints dans un roman de la Comtesse de Ségur. On comprend aisément le développement du Syndrome de Paris chez les japonais s'ils imaginent que Paris ressemble à Angelina. Sous les arcades de la rue de Rivoli et ...