La Brigade a presque un an et déjà tout d'un grand. Ce food truck se démarque en proposant un produit qui a priori n'était pas fait pour la street food : la viande. Pourtant, en la servant tranchée comme on la trouve au Relais de l'Entrecôte, l'onglet de boeuf, le magret de canard, le pavé de saumon et ...
Can tin (e) a élu domicile dans la rue du Faubourg Poissonnière il y a presque un an. Au menu, les incontournables de la street-food vietnamienne; banh mi, bo bun et autres réjouissances selon les jours. Différentes saveurs de bo buns : boeuf oignons, poulet à la citronnelle, végétarien, crevette sauce saté. Dans nos assiettes ? Un bo bun poulet à la ...
📕 Et un guide ❤️
Je pensais que c’était une histoire qui avait commencé en 2009 quand je vivais dans une résidence du CROUS à l’entrée de Chinatown, et que je m’offrais un banh mi ou une soupe phô débordante de coriandre, mais peut-être bien que ça a finalement débuté quand j’étais encore une enfant, quand ma mère m’emmenait parfois chez Tricotin, au milieu des tables rondes remplies de familles.
Il y a 12 ans, j’ouvrais ce blog pour répondre à une question « Peut-on encore bien manger à Paris pour moins de 15€ ? ».
Cette quête m’a menée des cantines les plus cachées de Paris aux vieux et vrais bistrots parisiens en passant par les minuscules bouis-bouis de la capitale. Des lieux de brassage culturel, de mixité sociale, de confrontation des idées, dans la tradition des troquets et bistrots parisiens. À Paris, où l’étroitesse des logements restreint les rassemblements familiaux et amicaux, ils ne sont pas de simples points de restauration : ils sont le cœur battant de la vie sociale et des interactions humaines.
Il y a 5 ans, en novembre 2019, j’auto-éditais un guide garni de mes 50 bouis-bouis parisiens préférés.
Aujourd’hui, je suis heureuse de présenter mon nouveau guide dans lequel j’ai sélectionné 101 adresses à Paris et au-delà pour bien manger à moins de 15 €, mais aussi et surtout des lieux de rencontre, de partage, où chacun peut se sentir à sa place.
Cent-une portes à pousser, quand elles ne restent pas constamment ouvertes, qui cultivent mixité, authenticité et altérité. Ces adresses dans lesquelles on parle du mauvais temps comme des prochaines élections, sont un rempart à l’isolement social, à l’entre-soi. Une fenêtre sur l’autre autour de ce que l’on sait le mieux faire en France : manger.
J’espère qu’il vous plaira, il représente tout ce que j’aime et qui m’émeut à Paris. J’y raconte aussi quelques parcours de vie extraordinaires de gérantes, de chef-fe-s et gérants. Souvent des histoires de migration, parfois de reconversion, mais toujours de passion.
Le guide est déjà en précommande partout, et sur Parislibrairies.fr pour le commander directement dans votre librairie de quartier à Paris.
Merci pour la force ❤️
Ultime étape : le sud de Lombok.
C’est à Selong Benalak que nous avons regardé nos derniers couchers de soleil et que l’on a tous surfé pour la toute toute première fois. Les petits avec beaucoup plus d’aisance, de grâce et de dignité 🤪... Le sud de l’île est la partie la plus touristique. Mais, en s’éloignant de Kuta Lombok, on gagne vite la tranquillité et les superbes plages de l’est et de l’ouest (je recommande Mawun Beach, Tanjung Aan et Selong Benalak). Selong Benalak est réputé pour ses vagues parfaites pour les débutants. La journée, une partie de la plage est remplie de wannabe surfers, l’autre est vide, et tout le monde quitte le village au coucher du soleil. Deux bouis-bouis, trois épiceries, une rue principale et des buffles.
J’espère que vous aimez suivre ce voyage. Pour vous remercier, on a ramené des gousses de vanille, j’en offre 3 à 4 d’entre vous ! Dites-moi juste en commentaire l’étape que vous avez préférée. Je vous les envoie !
#voyagerenfamille
[voyager en famille - voyage ]
