Quand l'ex Top Chef Denny Imbroisi descend du 1er étage de la Tour Eiffel où il officiait au Jules Vernes, c'est pour apporter un bout d'Italie au cœur du 15ème. En bon italien, Denny, Maître de la palabre vous transporte sans escale en Calabre à coups de spritz et de pancetta. Si son sex-aPouilles semble faire déplacer des ...
Un camion à galettes aux fanions bretons, aux bières artisanales bretonnes et aux boissons bretonnes. Marie et Philippe ne semblent pas céder à la pression Coca, Philadelphia même s'ils ont capitulé devant le Nutella après de multiples demandes. Ici, quasi tout est breton, mis à part quelques ingrédients minutieusement sélectionnés en IDF comme le miel des Yvelines (Velizy). Farine de ...
La terrasse éphémère du 7ème étage du Novotel Vaugirard a ouvert ses portes la semaine dernière. Au programme : une vue panoramique sur Paris sur une terrasse de 120m2 et cocktails, smoothies frais, une sélection de vins et des tapas avec produits de petits producteurs. Côté cocktails, j'ai goûté le Sunset Vaugirard, un spritz revisité par Sébastien Foulard. J'ai goûté ...
C’est le plus grand arrondissement de Paris et le plus peuplé. C’est une petite ville au cœur de la ville avec ses quartiers, ses reliefs et contrastes. C’est l’arrondissement où je suis née et où j’élève aujourd’hui mes enfants. Un arrondissement dont on parle peu dans les magazines et qui a pourtant tout pour séduire. Des quartiers-villages, de ...
Au coeur du 15ème, en face du bar animé du Général Beuret et sur la charmante place du même nom, vient de s'installer Wallace, un bistrot et restaurant qui vaut assurément le détour et deux ou trois coups de fourchette. Dans nos assiettes ? Epaule d'agneau de sept heures, jus aux épices douces et ail en chemise. Plancha de saumon laqué, croquant ...
Ouvrir un commerce rue des entrepreneurs ça ne s'invente pas... Et quand c'est une entrepreneuse bretonne qui débarque à deux pas de Beaugrenelle, c'est bel et bien dans le but de caraméliser le quartier... au beurre salé. On y mange donc des galettes et des crêpes dans une petite cantine à la cuisine ouverte. Avec une formule petit-déj à ...
Les terrasses... On en rêve toute l'année et dès que le soleil pointe le bout de son nez, elles sont littéralement prises d'assaut... Alors on se retrouve les uns sur les autres imitant nos chanceux congénères cherchant une place pour leur serviette sur la Côte d'Azur. Voici un spot où il y a (encore) de la place et de ...
Mombini est un café-poussettes, un concept en développement ces dernières années à Paris. Ces endroits sont des cafés bébés-friendly où personne ne se retourne quand un cri est poussé ou quand un sein est de sortie. Mombini, situé dans le 15ème, est en premier lieu une boutique de déco et de jouets pour bébés et enfants qui abrite au ...
J’ai eu 37 ans. Je pourrais avoir mon permis depuis 20 ans. Moi qui ai tout voulu faire tôt, sans code, ni de la vie, ni de la route, sûrement pour la vie. J’ai toujours ressenti l’urgence de vivre, brûlante, des impatiences dans les jambes, les mots qui se bousculent dans ma bouche, le rejet de la routine, l’esprit indigné, la conscience trop aiguisée du temps qui file - des journées trop longues et des vies trop courtes. Je dis toujours « c’est pas la mort ». Pour moi, rien est grave à part la mort. Ça énerve ma mère. Tout me glisse. Tout est toujours rattrapable, c’est ce que je répète inlassablement à mes enfants. Ce que je ne leur dis pas mais que je pense toujours après avoir dit cette phrase, c’est « sauf la mort ». Chaque anniversaire me donne envie d’accélérer. De meubler au mieux, de remplir, pas comme des cases à cocher mais des cases à kiffer, un calendrier de l’Avent permanent. J’aimerais gagner la paix. Celle des gens qui prennent leur temps. Celle que je vois et j’envie dans les yeux des croyants. Je ne la connais pas. Je pense souvent aux secondes avant de mourir, aux regrets que l’on peut éprouver. Je sais, je suis une meuf grave gaie. Je pense aussi souvent à ce que mes enfants diront de moi. « c’est la meuf qui aimait le plus partir au monde mais elle avait pas le permis ». J’ai eu 37 ans et je suis toujours aussi indignée et grande gueule qu’à mes 15 ans. Quand j’étais petite, je pensais qu’on devenait sage et heureux en vieillissant. Je savais pas encore que les filles sages allaient au paradis, et que les autres allaient où elles voulaient. Enfin bref, j’ai soufflé mes bougies sur une tarte noisette, praliné et ganache montée, une année de moins et/ou une année de plus à aller où je veux, sans permis et sans compromis. Mais avec beaucoup de boui-bouis.
P.S : Ma team 87 on est ensemble 🫶🏻
📸 6 ▶️ 2020
📸 7 ▶️ 2024 et en vrai, quand t’as pas de confinement et de bébé, ça te fait presque rajeunir. .
#enfamille #famillenombreuse #mafille
3 ans de tente 🏕️
Le meilleur moyen de partir en escampette en last minute pour avoir un œil sur la météo et sans casser son PEL.
Je n’avais jamais vraiment campé avant d’acheter cette tente sur un coup de tête (tête bien tourmentée après confinement avec 3 petits alors que je vis pour être dehors). Dormir sous la tente, c’était le rêve de Zacharie et il l’a maintenant fait des dizaines de fois. Quand j’ai acheté la tente, Ismaël avait 2 ans et demi, Zac 4 ans, Malia 6 ans et dès la première fois, je me suis demandée pourquoi je ne l’avais pas fait avant.
On vient de passer 4 jours à 2h de Paris, en Normandie ☀️. Évidemment, ça a plus le goût de la liberté que celui du confort mais j’ai choisi depuis longtemps qui je chéris davantage.
Pour vous jeter à l’eau, il vous faut :
- Une tente. On a une tente gonflable familiale.
- Un sac de couchage
- Un matelas (on en a un gonflable).
- Du beau temps.
Et let’s go!
Pour un peu plus de confort :
- Une table et chaises pliantes
- Des lampes led
Où poser sa tente :
- en bivouac (trouver des lieux chouettes avec l’appli Park4night)
- en camping. L’emplacement pour une nuit coûte de 10 à 30€.
- chez l’habitant, ou producteurs.
Et n’hésitez pas à emprunter ou louer une tente avant de vous lancer.
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